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Longwy-Texas

Patrimoine - Culture, Spectacle

Martigues 13500

Le 13/02/2026

Elle retrace l’histoire de sa famille, celle de trois générations d’hommes liés aux aciéries de Longwy et à travers eux, celle de toute une région sidérurgique marquée par les luttes sociales des années 70-80. Née dans cette Lorraine industrielle, elle remonte le fil de ses souvenirs d’enfance, entre manifestations, radios libres et hauts-fourneaux, pour interroger la place des filles dans un monde d’hommes, la transmission d’un héritage culturel et affectif, les non-dits de l’histoire familiale. Porté par une parole directe, sensible et percutante, le spectacle traverse les ruines de l’industrie pour faire émerger une voix féminine longtemps restée en marge : celle d’une « fille de l’industrie », témoin des espoirs, des combats et des silences. Longwy-Texas est le premier volet d’un cycle au long cours, Les Filles de l’industrie, que Carole Thibaut développe depuis 2016. Un récit poignant, entre documentaire et autofiction, qui donne corps à la grande Histoire à travers celle d’une femme. > Réservez vos places pour Mémoire de fille et bénéficiez d’un tarif à 5€ pour Longwy-Texas.

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Vagabondages et conversations

Manifestation culturelle

Marseille 13000

Le 21/05/2026

Tout commence par une rencontre entre deux hommes patients. L’un cultive les mots et les plantes : Gilles Clément est écrivain-jardinier. L’autre, explore la scène comme un terrain de gestes et de silences : Christian Ubl est chorégraphe. Ces deux arpenteurs du vivant créent ensemble Vagabondages & Conversations, un spectacle à la croisée de leurs terrains de jeu. Sous la forme d’un dialogue dansée, ils explorent avec tendresse, humour et légèreté ce que signifie « être vivant ». C’est sur les ondes fictives de Radio France Futur (RFF) que l’aventure démarre. Dans cette émission, pas tout à fait comme les autres, on parle de plantes, de paysages, de corps en mouvement, de racines et de départs et, souvent, on se met à danser. Le vagabondage prend alors vie sous nos yeux dans cette conversation joyeuse entre deux hommes de générations différentes. Ils nous parlent de transformation et d’adaptation à travers l’idée de « brassage planétaire » cette agitation incessante des vents, des marées, des animaux et des humains qui renouvellent sans cesse le monde. Ensemble, ils inventent un jardin de scène où les voix et les corps se frôlent, se frottent, s’enlacent pour[...]

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Au Théâtre "L'Avare" de Molière

Spectacle, Théâtre

Tarascon 13150

Le 08/02/2026

« C'est tout l'art de Molière de "s'amuser de la folie des Hommes" qui s'exprime à travers ce chef d'oeuvre classique si moderne ! Outre la jubilatoire analyse psychiatrique de l'avarice à travers le personnage d'Harpagon et la formidable exposition du conflit des générations, la pièce se distingue par un foisonnement théâtral qui mêle intrigues amoureuses et familiales dans un style où Molière se régale à réunir le langage naturel d'Harpagon et celui plus sophistiqué des autres personnages. Mais le grand génie de Molière c'est, avant tout, de réussir à faire rire le public avec un personnage principal odieux, tyrannique, égoïste et maladivement avare. » Jean-Philippe Daguerre La presse en parle « Une mise en scène drôle et parfaitement rythmée, à partager en famille. » Télérama TTT « Un classique de Molière porté par une troupe pleine d’allant qui privilégie le côté burlesque. » Figaro Magazine « Du théâtre classique magistralement mis en scène par Jean Philippe Daguerre, un travail magnifique avec l’ensemble de tous les comédiens. Du Grand Théâtre, du Beau Théâtre. » La Théâtrothèque Par : Compagnie Le Grenier de Babouchka De : Molière Mise en scène : Jean-Philippe[...]

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Je ne serais pas arrivée là, si…

Spectacle

Marseille 13000

Du 01/10/2021 au 03/10/2021

Toutes ont imposé leur voix dans un monde aux règles forgées par les hommes. Judith Henry et Julie Gayet donnent corps à ces témoignages de femmes dont la portée est universelle. "Je ne serais pas arrivée là, si…" Quelques mots posés là par Annick Cojean à Gisèle Halimi, Christiane Taubira, Virginie Despentes, Amélie Nothomb et d’autres femmes fortes, reconnues de notre temps qui ont accepté de les poursuivre. De se raconter. Annick Cojean, autrice, Grand Reporter au Monde et scrupuleuse émissaire de la parole des femmes depuis trente ans, se fait l’écho une fois de plus de cette parole, à travers ces parcours poignants, singuliers, toujours intimes. Judith Henry et Julie Gayet incarnent ces mots sur scène. L’une interroge, l’autre répond. À travers ces entretiens, où des générations de femmes s’adressent aux prochaines, s’écrit notre histoire commune. D’Annick Cojean Publié aux éditions Grasset & Fasquelle en partenariat avec Le Monde Conception et mise en scène :Judith Henry Lumières : Laurent Béal Costumes : Elisabeth Tavernier Collaboration artistique : Anne Le Guernec Avec Julie Gayet et Judith Henry Dans le cadre de "Jeu de Dames" Théâtre du Gymnase,[...]

photo Beethoven, l’autre nom romantique de la transfiguration

Beethoven, l’autre nom romantique de la transfiguration

Musique

Marseille 13000

Le 30/03/2022

Une musique faite par un homme libre, qui ne s’adresse plus aux cieux mais aux hommes. Un homme qui incarne l’esprit révolutionnaire de la fin du XVIIIe siècle. Un temps qui révèle les individus comme libres de travailler pour eux. Beethoven sait à quel point pour réussir il faudra se détacher des deux figures d’autorité de la fin du XVIIIe siècle à Vienne : Mozart et Haydn. Le premier en ne le citant jamais, le deuxième en refusant d’être son disciple. Casser les codes du style classique en transfigurant sa forme sera sa marque de fabrique. Peu importe à ses débuts, si ses contemporains n’y voient que "modulations hasardeuses" et amoncellements de difficultés techniques, il sait qu’une partie de son œuvre ne sera comprise qu’après sa mort. La postérité est dans l’air du temps. De son vivant il fabriquera son propre mythe. Sa figure du génie hantera pour des décennies, voire un siècle, des générations de compositeurs tétanisés à l’idée d’aborder la forme sonate ou la symphonie. Et comme si un enterrement en 1827 au cimetière de Währing ne suffisait pas à tourner la page, on l’enterra deux autres fois ! Exhumé une première fois en 1863 afin de mieux protéger ses[...]

photo BEETHOVEN, L AUTRE NOM ROMANTIQUE

BEETHOVEN, L AUTRE NOM ROMANTIQUE

Musique classique

MARSEILLE 06 13006

Le 30/03/2022 à 20:00

Une musique faite par un homme libre, qui ne s'adresse plus aux cieux mais aux hommes. Un homme qui incarne l'esprit révolutionnaire de la fin du XVIIIe siècle. Un temps qui révèle les individus comme libres de travailler pour eux. Beethoven sait à quel point pour réussir il faudra se détacher des deux figures d'autorité de la fin du XVIIIe siècle à Vienne : Mozart et Haydn. Le premier en ne le citant jamais, le deuxième en refusant d'être son disciple. Casser les codes du style classique en transfigurant sa forme sera sa marque de fabrique. Peu importe à ses débuts, si ses contemporains n'y voient que « modulations hasardeuses » et amoncellements de difficultés techniques, il sait qu'une partie de son œuvre ne sera comprise qu'après sa mort. La postérité est dans l'air du temps. De son vivant il fabriquera son propre mythe. Sa figure du génie hantera pour des décennies, voire un siècle, des générations de compositeurs tétanisés à l'idée d'aborder la forme sonate ou la symphonie. Et comme si un enterrement en 1827 au cimetière de Währing ne suffisait pas à tourner la page, on l'enterra deux autres fois ! Exhumé une première fois en 1863 afin de mieux protéger ses restes,[...]